Jamais nous n’aurions dû nous revoir, cette première
rencontre avait été “mémorable”. Nous nous étions
laissés emporter par nos rêves d’amour au long
cours. Marins d’eau douce, nous n’avions pas vu se
lever le vent, la tempête en mer. Alors quand nous
nous sommes retrouvés, subsistait toujours l’ombre
de ces gouffres profonds creusés par les vagues qui
risquaient de nous engloutir et pourtant : une
étincelle a jailli des braises encore ardentes.
Marie-Amélie Rigal
Magnifique…
Merci Jérôme 😊
Superbe ! Ca me parle beaucoup ! D autres s il vous plaît !!
Merciiii😍
Merciiii très cher 😍
A votre demande très cher, en voici un autre :
A ceux qui aiment l’emportement de [la mer,
Je voudrais dire : notre mer est en [colère
Car nous autres, êtres humains [aurions eu l’air
De ne pas écouter les cris de notre [mère
Lors, que faire ? cesser notre vie si [pressée ?
Ce type de questions semblent nous [entêter
Dès que nous sommes nés, petits à la [tétée
Mais aucun de nous ne trouve que [c’est assez
Hardis moussaillons, l’heure est [plutôt à l’audace
Point de retraite ou de dispersion, [levons
L’ancre et ensemble, n’accusons point [les Daces
Ou tout autre ancêtre qui, bien avant [nous
Eut pu être coupable, à nous seul le [devons
De nous être fourvoyés, pauvres de [nous
Magnifique! Félicitations!
Merciii Laurent 😉
Très beau et très tendre !
Merci Maryse 😉
C’est le poème que j’ai le plus apprécié en découvrant tes écrits.
Il l’a touché 🙂
Bonne continuation et encore merci pour la découverte !
Coucou Renaud,
Merci beaucoup de ce retour qui me touche beaucoup.
Oui, on ne devrait pas et pourtant on y va quand même, au risque d de se perdre ou de se retrouver, et heureusement ! L”amour est enfant du désordre !